3 juin 2007
Archive journal perso #3
THE ETERNAL
Lorsque le temps se calme,
Dans la solitude
D'une cigarette,
Derrière un piano au bord des larmes,
J'envisage les murmures universels.
L'univers passe par la mort.
Je me trompe, me dis-je,
Dans l'amour on trouve la mort
Pendue au cri
De notre cordon ombilical.
Je lui file une dernière cigarette,
Elle n'est pas très fière,
ce n'est pas ma mère,
Mais je préfère, me dis-je,
En partant.
Décembre 1991
Publicité
Publicité
Commentaires